Lettre vaal Text Audio /12
Nom |
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« Je n'avais rien. Je n'étais rien. J'ai vendu ma chair pour survivre. Aujourd'hui, cette chair appartient à ma Reine. » — Lire |
« Qu'ai-je dit ? Qu'ai-je fait ? J'ai flagorné, j'ai fait des promesses, j'ai mis ma peau et mon âme à nu pour ma chère Atziri. Je lui ai tout offert sauf mon propre sacrifice. Est-ce là mon erreur ? » — Lire |
« Un vulgaire anneau. Plaqué, même pas en argent massif. C'est tout ce que j'ai pris. Résultat, ils m'ont truffé de gemmes et s'apprêtent à me couper la tête. Juste pour un misérable anneau de pacotille. » — Lire |
« Je ne suis rien d'autre que le grossier reflet de notre Reine à la beauté infinie. Je meurs aujourd'hui pour que demain, tous les Vaal puissent profiter de son éclat. » — Lire |
« Je voulais lui soutirer son dernier souffle, mais je n'ai obtenu qu'un peu de sang versé. Doryani va me couper la tête demain matin, tout ça parce que ma main a tremblé. » — Lire |
« J'étais condamnée à me flétrir dans l'obscurité ; ma Reine m'a ramenée dans la lumière. J'aurais vécu dans la laideur ; je mourrai dans la beauté. » — Lire |
« Notre Reine nous a demandé de chercher notre salut dans les gemmes. Notre reflet dans leurs facettes est si déformé que nous pouvons à peine nous reconnaître. » — Lire |
« Je n'avais aucune échappatoire. Si notre Reine et son thaumaturge réussissent, personne n'en aura. » — Lire |
« Durant sept ans, je l'ai conseillée. Durant sept ans, elle m'a écouté. Mais aujourd'hui, mon avis ne lui convient plus. Mon sang ne sera qu'une goutte de plus dans l'océan qui va noyer cette terre. » — Lire |
« La reine Atziri a perdu sa souveraineté le jour où elle a choisi d'assassiner son peuple. » — Lire |
« Atziri est mon amour et ma vie ; en lui offrant cette dernière, je profiterai de son amour pour l'éternité. » — Lire |
« Atziri nous promet la vie éternelle. La seule éternité qui nous sera offerte sera dans la mémoire des barbares qui cultiveront leurs champs sur nos tombes. » — Lire |