Tu n'arbores aucun tatouage, Maraketh. T'es-tu déjà au moins battue ?
— OtherBanterWhakanoToAdiyah |
Eh bien, tu te goures royalement.
— OtherBanterWhakanoToAdiyahTwo |
{Tala moana, et que les nouvelles soient toujours bonnes ! Je me nomme Whakano, mais la plupart m'appellent le Barbier. Si tu veux que je te rafraîchisse les cheveux ou la barbe, prends place. Cependant, un petit poisson me dit qu'une conversation t'intéresse davantage qu'une coupe.
Un voyageur qui roule sa bosse autant que moi entend beaucoup de choses. Tout le monde a besoin de se refaire une beauté de temps en temps et moi, je suis un auditeur très attentif.
Or, il s'avère que certaines de ces choses que j'entends pourraient se prouver très lucratives pour des gens aux ambitions, disons, peu scrupuleuses.
Si tu déposes quelques pièces marquées dans le bocal à pourboires, il se pourrait que quelques-unes de mes notes très méticuleusement consignées s’y retrouvent par accident.}{Tala moana, et que les nouvelles soient toujours bonnes ! Je me nomme Whakano, mais la plupart m'appellent le Barbier. Si tu veux que je te rafraîchisse les cheveux, prends place. Cependant, un petit poisson me dit qu'une conversation t'intéresse davantage qu'une coupe.
Un voyageur qui roule sa bosse autant que moi entend beaucoup de choses. Tout le monde a besoin de se refaire une beauté de temps en temps et moi, je suis un auditeur très attentif.
Or, il s'avère que certaines de ces choses que j'entends pourraient se prouver très lucratives pour des gens aux ambitions, disons, peu scrupuleuses.
Si tu déposes quelques pièces marquées dans le bocal à pourboires, il se pourrait que quelques-unes de mes notes très méticuleusement consignées s’y retrouvent par accident.}
— Présentations |
Un homme des plus intéressant. Aussi dépourvu de cheveux et de poils que le jour qui l'a vu naître et qui, par conséquent, ne saurait que faire de quelqu'un de ma profession. Pourtant, aussi glabre soit-il, il connaît l'avantage d'avoir un bon barbier dans son entourage.
Personne ici n'est au courant du passé du Patron à l'exception de Kuraï, et elle ne te dévoilera rien, quand bien même tu lui offrirais une montagne de pièces marquées. La loyauté est la monnaie la plus précieuse dans le coin, et Kuraï et le Patron en ont des réserves à l'infini.
N'empêche que j'ai fait de mon mieux pour en apprendre le plus possible à son sujet. Les histoires se contredisent : baron de la contrebande, aristocrate de Théopolis ou, plus étrange encore, champion de l'Arène à la retraite. Et c'est là que Kuraï m'a dit d'arrêter de fouiner, sans quoi je finirais comme le dernier barbier. Ou peut-être voulait-elle dire que je serais {le} dernier barbier. Dans tous les cas, j'accorde plus de valeur à ma vie et à mon métier qu'aux ragots concernant un vieux gladiateur chauve qui fait dans la contrebande.
— Le Patron |
{Ce sont là de bien troublantes nouvelles en provenance d'Oriath. Je sais que tu étais non seulement impliqué, mais carrément au beau milieu des événements. Je sais aussi que ce n'est pas ta faute. Pas directement, en tout cas.
N'empêche, tu dois bien te douter que cette situation m'inspire un peu… d'animosité. Ne serait-ce que parce que l'apparition de Kitava signifie littéralement la fin du monde pour les Karuis.
Je te fais donc confiance pour régler tout ça, parce que si tu n'y parviens pas, toi et moi, c'est foutu. Et je ne parle pas que pour les affaires.}{Ce sont là de bien troublantes nouvelles en provenance d'Oriath. Je sais que tu étais non seulement impliquée, mais carrément au beau milieu des événements. Je sais aussi que ce n'est pas ta faute. Pas directement, en tout cas.
N'empêche, tu dois bien te douter que cette situation m'inspire un peu… d'animosité. Ne serait-ce que parce que l'apparition de Kitava signifie littéralement la fin du monde pour les Karuis.
Je te fais donc confiance pour régler tout ça, parce que si tu n'y parviens pas, toi et moi, c'est foutu. Et je ne parle pas que pour les affaires.}
— Kitava |
Écoute, au risque de paraître désagréable, on n'avait aucun souci avec ces conneries divines avant ton apparition. Les dieux n'étaient que des personnages fictifs. Une raison de faire avaler des légumes aux gamins. Et c'était très bien comme ça ! Je dirais même plus : c'était bien mieux comme ça !
Et maintenant ? On a des êtres mythiques sur les bras ! Et tu t'amuses à les exterminer ! Eux, nos héros ! Tukohama faisait partie des gentils ! J'espère que tu vas terminer ce que tu as commencé.
— Tukohama |
Bon, au moins, tu as tenu ta promesse, hein ? J'aurais préféré que mes dieux restent confortablement encoconnés dans leurs mythes, mais si le Dieu vorace tient vraiment à s'éveiller, on sait qu'on peut faire appel à toi pour le remettre au lit pour de bon.
— Kitava |
La rébellion a mis du temps à se mettre en place, puisque tu veux mon avis. Et mon autre avis, celui que tu ne m'as pas demandé, c'est que je pense que le bain de sang était inévitable. Le réveil des dieux ? J'admets qu'il m'a pris par surprise. Que les Karuis rentrent à la maison est une bonne chose. Mais la colère a tendance à s'accrocher comme une mauvaise odeur, et les esclaves ont raison d'être furieux. Ça risque de prendre un moment avant que les esprits s'apaisent. Si jamais ça se produit un jour.
— Les Esclaves |
{Imaginons que tu es un riche marchand d'esclaves oriathéen. Tu vends des gens à d'autres gens, empochant ainsi une fortune grâce aux clivages ethniques. Puis un beau jour, ces personnes que tu as vendues se mettent à massacrer ceux qui les ont achetées ! C'est assurément mauvais pour les affaires, non ? L'heure est sans doute venue pour toi d'arrêter les frais ?
Malheureusement, ça ne se passe pas comme ça. Les esclavagistes ont été blessés dans leur orgueil. À l'heure où l'on se parle, ils arpentent le monde à la recherche d'hommes, de femmes et même d'enfants karuis pour les enlever. Plus personne n'entend jamais parler des victimes de ces rapts. On serait portés à croire qu'ils ont été vendus à de nouveaux propriétaires, n'est-ce pas ? Il n'en est rien. Ils sont torturés. Assassinés. Les marchands d'esclaves voient ça comme une juste vengeance, mais ce n'est en réalité que le plaisir de faire le mal pour faire le mal.
L'éveil de Kitava a eu beaucoup de conséquences atroces, mais celle-là… En ce qui me concerne, c'est la pire de toutes.}{Imaginons que tu es une riche marchande d'esclaves oriathéenne. Tu vends des gens à d'autres gens, empochant ainsi une fortune grâce aux clivages ethniques. Puis un beau jour, ces personnes que tu as vendues se mettent à massacrer ceux qui les ont achetées ! C'est assurément mauvais pour les affaires, non ? L'heure est sans doute venue pour toi d'arrêter les frais ?
Malheureusement, ça ne se passe pas comme ça. Les esclavagistes ont été blessés dans leur orgueil. À l'heure où l'on se parle, ils arpentent le monde à la recherche d'hommes, de femmes et même d'enfants karuis pour les enlever. Plus personne n'entend jamais parler des victimes de ces rapts. On serait portés à croire qu'ils ont été vendus à de nouveaux propriétaires, n'est-ce pas ? Il n'en est rien. Ils sont torturés. Assassinés. Les marchands d'esclaves voient ça comme une juste vengeance, mais ce n'est en réalité que le plaisir de faire le mal pour faire le mal.
L'éveil de Kitava a eu beaucoup de conséquences atroces, mais celle-là… En ce qui me concerne, c'est la pire de toutes.}
— Les Redresseurs de torts |
La renaissance de Kitava a engendré d'innombrables tragédies, mais une bonne chose en a au moins découlé : la libération de mes frères et sœurs karuis. Les esclaves affranchis furent parmi les premiers survivants à atteindre les rivages de Wraeclast. Je les ai vus embrasser le sable, chanter, danser. Je les ai enfin vus jouir de cette liberté qui aurait toujours dû être la leur. Puis, les choses ont commencé à mal tourner.
Un homme répondant au nom d'Hapihapi, qui aidait les rapatriés à se trouver un nouveau départ, est porté disparu. Un témoin affirme l'avoir vu embarquer de force sur un navire d'esclavagistes. Je sais où celui-ci l'a emmené. Je veux que tu t'y rendes. Que tu le trouves. Que tu le libères.
— Vengeance de l'esclavagiste |
J'aurais aimé pouvoir affirmer que la tournure des événements me surprend. Vraiment. Ceci n'est qu'une ligne de plus sur la page d'un livre noirci par les atrocités perpétrées à l'encontre des Karuis. Je crains qu'il ne s'agisse pas d'un acte isolé, mais bien des prémices d'une tendance qui se dessine.
Quoi qu'il en soit, sache que tes efforts sont appréciés. Je vais demeurer vigilant. J'espère que tu feras de même.
Je vais envoyer un message aux proches d'Hapihapi, afin qu'ils puissent organiser une cérémonie d'adieux en son honneur.
— Vengeance de l'esclavagiste |
Parfois, je déteste vraiment avoir raison. L'enlèvement d'Hapihapi a été suivi d'une série d'incidents similaires. Les victimes sont toutes karuies, certaines à peine en âge de savoir marcher. Même en ces temps de folie et de bouleversements, des marchands d'esclaves emportent mes frères et sœurs alors que les Oriathéens qui ont péri n'ont même pas tous encore été inhumés. Bien que plusieurs navires soient impliqués, les méthodes employées sont beaucoup trop semblables pour qu'il s'agisse d'une coïncidence. Quelqu'un se cache derrière tout ça et je veux savoir qui c'est.
Le Bureau des archives d'Oriath renferme tout un tas de documents, dont les registres de ventes d'esclaves, les permis d'esclavage ainsi que l'endroit où se trouve chaque esclave connu et l'identité de son propriétaire. Je veux que tu me rapportes ces documents.
— Traces écrites |
{Je te remercie mille fois, exilé. Tu peux me laisser les documents. Je vais envoyer quelques petits poissons remonter le cours de la rivière ; on verra bien ce qu'ils rapporteront.}{Je te remercie mille fois, exilée. Tu peux me laisser les documents. Je vais envoyer quelques petits poissons remonter le cours de la rivière ; on verra bien ce qu'ils rapporteront.}
— Traces écrites |
Voilà ce qu'il faut savoir sur les marchands d'esclaves : sans la bénédiction des Templiers, leur structure s'effondre comme un château de sable.
Mes petits poissons sont de retour, et ils ont rapporté un nom : Friedrich Tarollo.
Que tu n'en aies jamais entendu parler ne me surprend guère. C'était un esclavagiste de petite envergure. Mais même au sein d'un métier reconnu pour son inhumanité et sa cruauté, Friedrich était une véritable ordure. Il adorait pourchasser ses victimes, les malmener. Il a laissé nombre de cicatrices sur le dos de plusieurs de mes frères et sœurs.
Il semblerait qu'il se terre à présent dans une grotte quelque part en tant que seigneur suprême autoproclamé des esclavagistes et qu'il profite de l'anarchie provoquée par la chute d'Oriath d'une manière tout à fait révoltante. Retrouve-le afin que justice soit faite.
— Le Roi esclavagiste |
{La nouvelle m'est parvenue, exilé. Tarollo est mort. Le message est on ne peut plus clair pour quiconque daignera l'écouter : le peuple karui est un peuple libre qui ne pliera jamais sous les menaces et la terreur. Ni aujourd'hui ni demain.
Peut-être n'était-ce qu'un simple boulot à tes yeux, peut-être était-ce quelque chose de plus. Je m'en fiche. Ce qui importe, c'est que tu as ouvert la voie au changement. Et, pour cela, tu mérites autant mes pièces marquées que mon respect.}{La nouvelle m'est parvenue, exilée. Tarollo est mort. Le message est on ne peut plus clair pour quiconque daignera l'écouter : le peuple karui est un peuple libre qui ne pliera jamais sous les menaces et la terreur. Ni aujourd'hui ni demain.
Peut-être n'était-ce qu'un simple boulot à tes yeux, peut-être était-ce quelque chose de plus. Je m'en fiche. Ce qui importe, c'est que tu as ouvert la voie au changement. Et, pour cela, tu mérites autant mes pièces marquées que mon respect.}
— Le Roi esclavagiste |
{La nouvelle m'est parvenue, exilé. Tarollo est mort. Le message est on ne peut plus clair pour quiconque daignera l'écouter : le peuple karui est un peuple libre qui ne pliera jamais sous les menaces et la terreur. Ni aujourd'hui ni demain.
Mais, cette chose que tu as rapportée de là-bas… Si Tarollo était en mesure de s'en servir pour alimenter sa haine, on pourrait peut-être trouver un moyen de l'utiliser pour nous défendre. Cependant… sa simple proximité me met mal à l'aise. J'ignore ce que c'est, mais il faut la garder entre bonnes mains.
Je vais m'en charger pour le moment. Je ne fais confiance à personne pour s'en occuper, pas même toi. Je te dois donc des excuses… mais aussi des remerciements.
}{La nouvelle m'est parvenue, exilée. Tarollo est mort. Le message est on ne peut plus clair pour quiconque daignera l'écouter : le peuple karui est un peuple libre qui ne pliera jamais sous les menaces et la terreur. Ni aujourd'hui ni demain.
Mais, cette chose que tu as rapportée de là-bas… Si Tarollo était en mesure de s'en servir pour alimenter sa haine, on pourrait peut-être trouver un moyen de l'utiliser pour nous défendre. Cependant… sa simple proximité me met mal à l'aise. J'ignore ce que c'est, mais il faut la garder entre bonnes mains.
Je vais m'en charger pour le moment. Je ne fais confiance à personne pour s'en occuper, pas même toi. Je te dois donc des excuses… mais aussi des remerciements.}
— WhakanoContractThreeEndAlternative |
Alors, comment ça se passe sur votre vaisseau, capitaine ?
— WhakanoBanterAFaustus |
Que vous passiez autant de temps ici ne les dérange pas ?
— WhakanoBanterAFaustusTwo |
Vous deviez goûter au fouet au retour du capitaine, non ?
— WhakanoBanterAFaustusThree |
Vous parlez des barbiers, capitaine ?
— FaustusBanterAWhakanoReply |
Kitava n'a absolument rien d'un sauveur. Kitava symbolise la mort, la fin de toutes choses.
— FaustusBanterAWhakanoReplyTwo |
Hinekora ? La Mère des morts s'occupe bien du transport de nos âmes, mais elle n'a aucun désir de tous nous détruire. On retrouve souvent ce malentendu chez les vôtres.
— FaustusBanterAWhakanoReplyThree |
Non, les capitaines. Je peux pas parler au nom de tous les Karuis, mais à titre personnel, j'éprouve beaucoup de tristesse pour Oriath. Plusieurs ont perdu la vie, leur maison ou leur famille. Des gens bien. Des gens moins bien aussi, mais même ceux-là devraient avoir la chance de pouvoir réfléchir à leurs méfaits et à se repentir. Kitava leur a enlevé cette chance.
— FaustusBanterAWhakanoReplyFour |
C'est à moi que vous parlez, capitaine ?
— FaustusBanterBWhakanoReply |
Ah bon ? Pourtant, certains pourraient avancer que vous vivez sur des îles karuies depuis des générations.
— FaustusBanterBWhakanoReplyTwo |
Moi ?
— FaustusBanterBWhakanoReplyThree |
J'ai rien fait de tout ça, capitaine.
— FaustusBanterBWhakanoReplyFour |
Au temps pour moi, capitaine. Permettez-moi de vous rendre la pareille : merci de ne pas avoir rasé nos maisons, de ne pas avoir enlevé nos enfants, nos frères et nos sœurs, nos femmes et nos maris et de ne pas les avoir enchaînés lorsque vous avez accosté. Merci d'avoir restreint votre processus de recolonisation à une seule île et de n'avoir enfreint qu'une poignée de nos lois et traditions au cours de ces premiers jours.
— FaustusBanterBWhakanoReplyFive |
Voilà ce que je sais.
— WhakanoRevealBlueprintOne |
Mes petits poissons me disent que c'est à peu près comme ça.
— WhakanoRevealBlueprintTwo |
J'ai entendu dire que ça ressemblait à ça.
— WhakanoRevealBlueprintThree |
Non, non. Plutôt comme ça.
— WhakanoRevealBlueprintFour |
Besoin d'un boulot ?
— WhakanoBuyContractOne |
J'ai quelques contrats à vendre.
— WhakanoBuyContractTwo |
J'ai quelques contrats en stock, si ça t'intéresse.
— WhakanoBuyContractThree |
Tu te cherches quelque chose à faire ?
— WhakanoBuyContractFour |
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