Tu n'es pas un cafard. Étrange… Moi, je suis submergée par les cafards, de sales quadrupèdes noirs et piquants. Tu piques, toi, dis-moi ? Si tu piques, mes rubans t'arracheront la colonne vertébrale.
Malachai aimait bien les colonnes vertébrales. Il aimait la {mienne}. Une jolie colonne constellée de gemmes. Assez jolie pour faire pleurer un empire.
Il t'arrive de pleurer, Pas-un-cafard ? Moi, oui. Les larmes sont inépuisables. Aujourd'hui, j'ai trouvé une nouvelle raison de pleurer. — Présentations |
Les rubans représentent l'ordre. Nettoyer et astiquer. Servir et protéger.
Mais les cafards se sont introduits en grouillant, ils ont afflué par les fissures. Ils ont pris la Bobine à rubans. Ils l'ont {volée}. Les hommes en noir convoitent mes rubans. Ils veulent envelopper la ville entière de rubans noirs.
Trouve la Bobine, Pas-un-cafard. Regarde sur le pas de ma porte, là où les rubans écrasent les cafards en ce moment même. Rapporte la Bobine et je saurai me montrer reconnaissante. — La Bobine à rubans |
Qu'as-tu donc là, Pas-un-cafard ? Ma Bobine à rubans ! Les hommes en noir voulaient me prendre mes rubans. Ils voulaient envelopper la ville entière de rubans noirs.
Ce sont à nouveau {mes} rubans, pour toujours. Pour toujours… Je déteste « toujours ». Je pourrais arracher « et ils vécurent heureux pour toujours » de la langue de tous les bardes !
Tu es encore là, Pas-un-cafard ? Oh oui, c'est vrai, ma reconnaissance. Je devrais te donner un présent. Un présent… Quel présent ? Celui-ci ? Il te convient ? — La Bobine à rubans |
Ce sont à nouveau {mes} rubans, pour toujours. Pour toujours… Je déteste « toujours ». Je pourrais arracher « et ils vécurent heureux pour toujours » de la langue de tous les bardes !
Tu es encore là, Pas-un-cafard ? Oh oui, c'est vrai, ma reconnaissance. Je devrais te donner un présent. Un présent… Quel présent ? Celui-ci ? Il te convient ? — La Bobine à rubans |
Les cafards reviendront. Ils rêvent de chaos. Ce cafard d'empereur… les autres insectes scandent son nom. {Gravicius}. Traverse la rivière, pars écraser l'empereur cafard dans son nid.
Le pont est barricadé ? Cela soulève une question compliquée. Des questions, des questions… Je posais trop de questions. C'est Chitus qui me l'a dit. J'avais demandé où partaient nos… déjections. Il leur a ordonné de me montrer. Sous la rivière, les Égouts s'étendent d'une rive à l'autre. Des tunnels aussi crasseux et fétides qu'un cloaque de rhoa.
Un endroit sombre qui grouille de Nonmourants. Jadis de si beaux Sertis empreints d'arrogance, devenus les rebuts nauséabonds de l'Empire. Voilà qui est pertinent, tu ne trouves pas ? Très, très très pertinent. — Les Égouts |
Je t'aime bien, Pas-un-cafard. J'aime que tu écoutes ce qu'on te dit. Ça m'embêterait que tu te fasses assassiner par les Nonmourants.
Du Sulfite thaumatique. Voilà ce dont tu as besoin. C'est une substance très, très nocive. Malachai envoyait ses esclaves l'extraire des mines des montagnes australes pour le ramener ensuite aux raffineries près des docks. Les Ézomytes, les Marakeths, les Karuis… décimés par le Sulfite thaumatique, qui leur a bouilli le sang et grillé la cervelle.
Comme tu n'es pas stupide, Pas-un-cafard, tu le porteras bien à bout de bras. Tu vas m'en rapporter afin que je te confectionne du Talc infernal, avec lequel tu apporteras une lumière féroce dans les ténèbres des Nonmourants. — Le Sulfite thaumatique |
{Tu as récupéré du Sulfite thaumatique ? Tu es un vertébré plein de ressources, ma parole. Donne-le-moi. J'étais très attentive quand Malachai se mettait au travail, alors je sais exactement ce qu'il faut faire.}{Tu as récupéré du Sulfite thaumatique ? Tu es une vertébrée pleine de ressources, ma parole. Donne-le-moi. J'étais très attentive quand Malachai se mettait au travail, alors je sais exactement ce qu'il faut faire.} — Le Sulfite thaumatique |
{Je t'aime bien, Pas-un-cafard. J'aime que tu écoutes ce qu'on te dit. Ça m'embêterait que tu te fasses assassiner par les Nonmourants.
Du Sulfite thaumatique. Voilà ce dont tu as besoin.
Tu en as déjà ? Tu es un vertébré plein de ressources, ma parole. Donne-le-moi. J'étais très attentive quand Malachai se mettait au travail, alors je peux le transformer pour toi. Je vais en faire du Talc infernal qui éclairera d'une lumière féroce les ténèbres des Nonmourants.}{Je t'aime bien, Pas-un-cafard. J'aime que tu écoutes ce qu'on te dit. Ça m'embêterait que tu te fasses assassiner par les Nonmourants.
Du Sulfite thaumatique. Voilà ce dont tu as besoin.
Tu en as déjà ? Tu es une vertébrée pleine de ressources, ma parole. Donne-le-moi. J'étais très attentive quand Malachai se mettait au travail, alors je peux le transformer pour toi. Je vais en faire du Talc infernal qui éclairera d'une lumière féroce les ténèbres des Nonmourants.} — Le Sulfite thaumatique |
Une goutte d'arcanité, une pincée de démence, un murmure d'obscénités et voilà le Talc infernal terminé. — Le Talc infernal |
C'est la plus explosive des poudres. Il suffit d'une étincelle pour que la plus infime poussière de Talc infernal pousse les gemmes à entrer dans une rage incandescente. Les Nonmourants vont sentir le soleil se lever dans leur chair.
Ils paieront leurs péchés par le feu, Pas-un-cafard. Ils vont brûler ! — Le Talc infernal |
J'aimais Malachai. Il me donnait des gemmes, des gemmes divines pour moi, sa Reine des Sertis. Sa Reine bonne à {mourir}. Mais je ne voulais pas mourir ! Malachai m'a suppliée : je devais me sacrifier pour lui, pour l'Empire. Mais j'ai pensé à moi… Moi, moi, moi. L'Empire est mort et moi, je vis. Je vis et je vis et je vis et je vis. — Maligaro |
Il fut un temps où j'étais la favorite de l'Empereur. Mais Chitus avait beaucoup de favorites. Le Sceptre divin était rempli de ses favorites. De temps à autre, il arrivait à Chitus de faire un peu de ménage. Celles qui le satisfaisaient, il les donnait à ses seigneurs et à ses généraux. Les autres… étaient remises aux thaumaturges.
Moi, j'ai trop parlé, j'ai posé trop de questions épineuses, alors j'ai été offerte à Malachai. À mon tendre Malachai, si tourmenté. — Chitus |
Ce cafard de Gravicius n'est plus. Un autre empereur mort piétiné. C'est ce qui arrive aux empereurs. Toujours. Ils n'apprendront donc jamais. — Le Général Gravicius |
Tu es un être particulièrement remarquable, Pas-un-cafard ! Regarde-toi, ta nature légendaire suinte par tous tes pores. Tu es de loin la chose la plus merveilleuse que j'aie vue depuis fort, fort longtemps. Non pas que j'aie vu grand-chose, à part l'intérieur de ce temple, cette confortable sépulture… mais je pense que tu as prouvé que tu étais digne, digne du chef-d'œuvre de Malachai : le Laboratoire éternel.
Tu es sage et tu ne crains pas {ce} monde-{ci}, Pas-un-cafard. Laisse le Laboratoire éternel te remercier par le don de la terrifiante innocence. — DiallaMaps |
{Est-ce du Sulfite thaumatique que tu transportes, Pas-un-cafard ? Sois prudent avec cette substance. Elle est des plus caustique. Je ne tiens pas outre mesure à voir ton visage fondre sur ton crâne.}{Est-ce du Sulfite thaumatique que tu transportes, Pas-un-cafard ? Sois prudente avec cette substance. Elle est des plus caustique. Je ne tiens pas outre mesure à voir ton visage fondre sur ton crâne.} — Le Sulfite thaumatique |
Te voilà au sommet de l'Empire, Pas-un-cafard. Tu as écrasé l'Empereur-cloporte et balayé ses rêves d'insecte de la surface de Wraeclast.
Contraint à l'exil par Dominus, tu t'es retrouvé nu et abandonné au creux de la froide paume de la Mort. Mais tu n'es pas du genre à te laisser mourir, n'est-ce pas ?
Non, bien sûr que non… Tu as enlacé la Mort dans tes bras, tu lui as promis monts et merveilles, tu en as fait ta courtisane pour ensuite la partager avec tous tes amis passagers à Wraeclast.
Et tout cela sans jamais oublier qui tu étais. Tu n'es pas devenu un cafard qui se nourrit des restes d'un empire déchu, comme ces nuisibles que tu as exterminés sur ton passage.
Non, tu es resté un homme. Le genre d'homme qui, jadis, sema les graines de cet Empire, ici même à Sarn.
Quelle que soit la triste et misérable vie à laquelle elle s'accroche, cette terre t'est redevable, ombre. — Dominus (récompense) |
Te voilà au sommet de l'Empire, Pas-un-cafard. Tu as écrasé l'Empereur-cloporte et balayé ses rêves d'insecte de la surface de Wraeclast.
Contrainte à l'exil par Dominus, tu t'es retrouvée nue et abandonnée au creux de la froide paume de la Mort. Mais tu n'es pas du genre à te laisser mourir, n'est-ce pas ?
Non, bien sûr que non… Tu as enlacé la Mort dans tes bras, tu lui as promis monts et merveilles, tu l'as prise à tes côtés pour ensuite la partager avec tous tes amis passagers à Wraeclast.
Et tout cela sans jamais oublier qui tu étais. Tu n'es pas devenu un cafard qui se nourrit des restes d'un empire déchu, comme ces nuisibles que tu as exterminés sur ton passage.
Non, tu es resté une femme. Le genre de femme qui, jadis, sema les graines de cet Empire, ici même à Sarn.
Quelle que soit la triste et misérable vie à laquelle elle s'accroche, cette terre t'est redevable, sorcière. — Dominus (récompense) |
Te voilà au sommet de l'Empire, Pas-un-cafard. Tu as écrasé l'Empereur-cloporte et balayé ses rêves d'insecte de la surface de Wraeclast.
Contraint à l'exil par Dominus, tu t'es retrouvé nu et abandonné au creux de la froide paume de la Mort. Mais tu n'es pas du genre à te laisser mourir, n'est-ce pas ?
Non, bien sûr que non… Tu as enlacé la Mort dans tes bras, tu lui as promis monts et merveilles, tu en as fait ta disciple pour ensuite la partager avec tous tes amis passagers à Wraeclast.
Et tout cela sans jamais oublier qui tu étais. Tu n'es pas devenu un cafard qui se nourrit des restes d'un empire déchu, comme ces nuisibles que tu as exterminés sur ton passage.
Non, tu es resté un homme. Le genre d'homme qui, jadis, sema les graines de cet Empire, ici même à Sarn.
Quelle que soit la triste et misérable vie à laquelle elle s'accroche, cette terre t'est redevable, templier. — Dominus (récompense) |
Te voilà au sommet de l'Empire, Pas-un-cafard. Tu as écrasé l'Empereur-cloporte et balayé ses rêves d'insecte de la surface de Wraeclast.
Contraint à l'exil par Dominus, tu t'es retrouvé nu et abandonné au creux de la froide paume de la Mort. Mais tu n'es pas du genre à te laisser mourir, n'est-ce pas ?
Non, bien sûr que non… Tu as enlacé la Mort dans tes bras, tu lui as promis monts et merveilles, tu en as fait ta conquête pour ensuite la partager avec tous tes amis passagers à Wraeclast.
Et tout cela sans jamais oublier qui tu étais. Tu n'es pas devenu un cafard qui se nourrit des restes d'un empire déchu, comme ces nuisibles que tu as exterminés sur ton passage.
Non, tu es resté un homme. Le genre d'homme qui, jadis, sema les graines de cet Empire, ici même à Sarn.
Quelle que soit la triste et misérable vie à laquelle elle s'accroche, cette terre t'est redevable, duelliste. — Dominus (récompense) |
Te voilà au sommet de l'Empire, Pas-un-cafard. Tu as écrasé l'Empereur-cloporte et balayé ses rêves d'insecte de la surface de Wraeclast.
Contrainte à l'exil par Dominus, tu t'es retrouvée nue et abandonnée au creux de la froide paume de la Mort. Mais tu n'es pas du genre à te laisser mourir, n'est-ce pas ?
Non, bien sûr que non… Tu as enlacé la Mort dans tes bras, tu lui as promis monts et merveilles, tu en as fait ton familier pour ensuite la partager avec tous tes amis passagers à Wraeclast.
Et tout cela sans jamais oublier qui tu étais. Tu n'es pas devenu un cafard qui se nourrit des restes d'un empire déchu, comme ces nuisibles que tu as exterminés sur ton passage.
Non, tu es resté une femme. Le genre de femme qui, jadis, sema les graines de cet Empire, ici même à Sarn.
Quelle que soit la triste et misérable vie à laquelle elle s'accroche, cette terre t'est redevable, rôdeuse. — Dominus (récompense) |
Te voilà au sommet de l'Empire, Pas-un-cafard. Tu as écrasé l'Empereur-cloporte et balayé ses rêves d'insecte de la surface de Wraeclast.
Contraint à l'exil par Dominus, tu t'es retrouvé nu et abandonné au creux de la froide paume de la Mort. Mais tu n'es pas du genre à te laisser mourir, n'est-ce pas ?
Non, bien sûr que non… Tu as enlacé la Mort dans tes bras, tu lui as promis monts et merveilles, tu en as fait ta conquête pour ensuite la partager avec tous tes amis passagers à Wraeclast.
Et tout cela sans jamais oublier qui tu étais. Tu n'es pas devenu un cafard qui se nourrit des restes d'un empire déchu, comme ces nuisibles que tu as exterminés sur ton passage.
Non, tu es resté un homme. Le genre d'homme qui, jadis, sema les graines de cet Empire, ici même à Sarn.
Quelle que soit la triste et misérable vie à laquelle elle s'accroche, cette terre t'est redevable, maraudeur. — Dominus (récompense) |
Te voilà au sommet de l'Empire, Pas-un-cafard. Tu as écrasé l'Empereur-cloporte et balayé ses rêves d'insecte de la surface de Wraeclast.
Contrainte à l'exil par Dominus, tu t'es retrouvée nue et abandonnée au creux de la froide paume de la Mort. Mais tu n'es pas du genre à te laisser mourir, n'est-ce pas ?
Non, bien sûr que non… Tu as enlacé la Mort dans tes bras, tu lui as promis monts et merveilles, tu l'as prise à tes côtés pour ensuite la partager avec tous tes amis passagers à Wraeclast.
Et tout cela sans jamais oublier qui tu étais. Tu n'es pas devenu un cafard qui se nourrit des restes d'un empire déchu, comme ces nuisibles que tu as exterminés sur ton passage.
Non, tu es resté une femme. Le genre de femme qui, jadis, sema les graines de cet Empire, ici même à Sarn.
Quelle que soit la triste et misérable vie à laquelle elle s'accroche, cette terre t'est redevable, héritière. — Dominus (récompense) |
{Bien sûr, d'autres empereurs suivront. Tu t'en doutes bien, n'est-ce pas ? De sales petites vermines se bousculeront encore et toujours pour s'emparer de l'héritage de leurs prédécesseurs. Cela perdurera, à moins que nous ne réduisions cet héritage en cendres, que nous ne désinfections cette plaie qui putréfie la chair de l'existence.
Pars vers le nord, mon cher vertébré. Va jusqu'à Hautevoie, là où la fin commence.
Jette-toi dans cet océan de cauchemars. Attrapes-y un bon gros poisson et fais-en ton repas.}{Bien sûr, d'autres empereurs suivront. Tu t'en doutes bien, n'est-ce pas ? De sales petites vermines se bousculeront encore et toujours pour s'emparer de l'héritage de leurs prédécesseurs. Cela perdurera, à moins que nous ne réduisions cet héritage en cendres, que nous ne désinfections cette plaie qui putréfie la chair de l'existence.
Pars vers le nord, ma chère vertébrée. Va jusqu'à Hautevoie, là où la fin commence.
Jette-toi dans cet océan de cauchemars. Attrapes-y un bon gros poisson et fais-en ton repas.} — Hautevoie |
L'heure est venue, Pas-un-cafard, de pénétrer au sein de ce Cauchemar, de nous frayer un chemin à travers ses entrailles pour lui arracher son cœur corrompu !
Oyun nous aidera à y parvenir. Pars, maintenant ! Va fraterniser avec la matriarche maraketh pour lui soutirer tout ce qu'il y a à savoir le plus vite possible.
Au sein de cette montagne se tapissent des ténèbres abjectes qui brûlent d'impatience de faire ta connaissance. — Oyun |
Tous nos espoirs résident dans le Ravissement. C'est notre dernière chance. Avec lui, le Cauchemar entrera en ébullition et nous pourrons alors cuisiner ce bon gros poisson dans la saumure de ses gémissements.
Ouvre grand tes oreilles, Pas-un-cafard. Le Ravissement était la plus merveilleuse des créations de Malachai, le seul feu assez brûlant pour nous débarrasser de la Bête.
Et son combustible n'était rien de moins qu'une Reine sertie, faite de chair, de sang et de gemmes. Mais, égoïste, je n'ai pas voulu disparaître dans les flammes, ainsi ce qui aurait dû être un grand brasier n'a été qu'une minuscule étincelle. L'étincelle d'un cataclysme.
Je suis si désolée, mon amour, mon Malachai.
Va, Pas-un-cafard. Trouve le Ravissement, pour que s'éteignent mes regrets pour de bon. — Maligaro |
Tu sais, Pas-un-cafard, si j'avais accepté mon sort, mon rôle au sein du Ravissement, alors la Bête ne serait plus, ne serait rien, ne serait rien de moins que rien du tout. Mais mon égoïsme a réjoui la Bête qui, d'un simple éclat de rire, a balayé le monde qui m'était cher.
Mais j'ai eu du temps pour réfléchir pendant mes années de solitude. Beaucoup de temps. Le temps de me demander si le Ravissement avait vraiment besoin d'ingérer une Reine sertie.
Qui sait, peut-être saliverait-il devant autre chose. Quelque chose comme... de la soupe aux yeux !
Oui... L'Œil de la furie et l'Œil du désir : de splendides gemmes pour nos splendides desseins. Où peuvent-ils bien être ? Ne t'en fais pas. J'ai ma petite idée.
Kaom, le Souverain du massacre, demeure ici dans les dédales du Cauchemar, où il souffre de ses propres illusions. La furie étant tout ce que Kaom connaît, c'est donc tout ce à quoi il aura droit.
Et Daresso… Daresso, le Roi des épées, damné par le désir. Ne le sommes-nous pas tous ? Lui aussi est ici, accablé par la malédiction du désir.
Va, Pas-un-cafard. Rapporte-moi ces joyaux pour que nous puissions réveiller le Ravissement et en finir avec cette Bête importune ! — Le Ravissement |
Ah, tu as arraché l'Œil de furie des mains mortes de Kaom ? Ou devrais-je dire « de ses mains mortes à nouveau » ? Ou encore « de ses mains remortes » ? Est-ce que la non-vie ne serait pas simplement la mort avec quelques... avantages en plus ?
Auquel cas, tu n'aurais pas vraiment tué Kaom puisqu'il était déjà mort. Il faut admettre que tout ça est un peu flou. Et parfaitement hors sujet. — L'Œil de la furie |
Il nous manque encore une gemme. Va, Pas-un-cafard, et libère Kaom de sa furie. — L'Œil de la furie |
Ah, tu as arraché l'Œil du désir des mains mortes de Daresso ? Ou devrais-je dire « de ses mains mortes à nouveau » ? Ou encore « de ses mains remortes » ? Est-ce que la non-vie ne serait pas simplement la mort avec quelques... avantages en plus ?
Auquel cas, tu n'aurais pas vraiment tué Daresso puisqu'il était déjà mort. Il faut admettre que tout ça est un peu flou. Et parfaitement hors sujet. — L'Œil du désir |
Il nous manque encore une gemme. Va, Pas-un-cafard, et libère Daresso de son désir. — L'Œil du désir |
La furie et le désir à nouveau réunis. Mes petites beautés aux reflets chatoyants, gorgées de la vigueur d'innombrables âmes massacrées.
C'est mon Malachai qui les avait fabriquées. Un ouvrage des plus exquis. Le général Adus, quant à lui, s'était chargé des massacres. Du joli travail aussi, à sa bien juteuse façon. — Le Ravissement |
À table, mon petit Ravissement !
{« Vous étiez-vous déjà rendu au Bout du monde auparavant, mon roi ? », demanda le Singe le plus noir.
« Non, jamais. », réalisa le Roi singe.
« C'est pour cela que je vais où vous allez et que je suis là où vous êtes, mon roi. », conclut le Singe le plus noir d'une voix chaude et accueillante comme la mort.}
Sais-tu qui a écrit cela, Pas-un-cafard ? C'est Victario Névalius, le Poète du peuple de Sarn. C'était mon ami... et je l'ai trahi. J'ai pris son amour et je l'ai fait brûler sous ses yeux.
À présent, c'est moi qui suis trahie. Mon cœur a été carbonisé par l'homme que j'aimais... Mon Malachai.
Il a trouvé un nouveau cœur à aimer, vois-tu. Celui d'une Bête contre lequel il peut se blottir, se réchauffer et se sentir en sécurité au Bout du monde.
Aujourd'hui, je compte rappeler à Malachai sa trahison. Aujourd'hui, c'est à son tour de brûler… — Le Ravissement |
Malachai a aimé tous ses instruments, toutes ses créations... Toutes, sauf moi.
C'est pourquoi il a fini par me trahir. Il m'a d'abord dit qu'il m'aimait, puis qu'il souhaitait me voir mourir. Maintenant, il me trahit de nouveau. Il me laisse souffrir. Me laisse dépérir.
Suis-je la seule erreur que tu aies jamais commise, Malachai ?
On dirait bien que oui. Dialla, la Reine des Sertis. L'incartade de Malachai.
Fais-lui regretter son erreur, Pas-un-cafard. Ouvre en deux le cœur noir de la Bête. Arrache Malachai de son abject petit Cauchemar. Écorche-le, écrase-le, détruis-le par le feu !
Il ne mérite pas mieux ; quant à moi, j'ai déjà assez souffert. Pas d'amour pour moi. Pas d'amour, pas d'amour... pas d'amour. — Le Ravissement |
Je sens une sorte d'impatience nauséabonde qui émane de cette montagne. Je ne sens qu'elle, Pas-un-cafard. Une attente, une anticipation écœurante dont les effluves volent jusqu'à moi. — La Bannière de Deshret |
Ils l'appelaient Voll le Pur. Moi, je l'appelle Voll le Meurtrier. Car en son nom, un empereur a été assassiné ; en son nom, un empire tout entier a été sacrifié.
Oui, c'est bien Malachai qui m'a embrassée. Oui, c'est bien sa main qui m'a guidée vers le Ravissement. Mais non, non et encore non ! C'est aux paroles de Voll que je dois d'être ici. — Voll |
Le Ravissement devait transpercer le cuir du Cauchemar et faire griller les entrailles amères de la Bête dans les douces flammes de la mortalité.
C'était un outil puissant... et ô combien enthousiaste !
Le remède, en revanche, était ô combien trop faible… — L'Appareil à Ravissement |
Ce bon vieux Kaom, celui qui a une hache en guise de cerveau. Celui qui a impitoyablement arraché des Éternels de leur foyer sur toute la côte méridionale.
Il les a massacrés comme du bétail, ignorant leurs bêlements désespérés. Les têtes des femmes et des enfants ont servi à décorer ses portes.
Qu'est-ce qui distingue un héros d'un scélérat ? La réponse dépendra du camp de la personne que tu interroges. — Kaom |
Le Roi des épées, vestige d'une époque antérieure à la mienne, un reliquat d'un autre temps... Où est le temps quand on en a besoin ? Jamais il ne s'arrête, voilà le problème !
Sauf pour Daresso. L'amour l'a pétrifié. Un amour éteint depuis très, très, très longtemps... Et lui ne s'en rend toujours pas compte. — Daresso |
Qu'est-ce donc qui s'anime dans ton regard ? Ce scintillement, cette… douceur ? Serait-ce de la compassion ?
Emporte tes yeux dégoulinants de pitié loin de moi, avant que je ne les arrache de leurs orbites !
Il ne me reste qu'une ultime chose à te demander à présent : le cadavre de Malachai. — Dialla |
Qu'est-ce donc qui s'anime dans ton regard ? Ce scintillement, cette… douceur ? Serait-ce de la compassion ?
Emporte tes yeux dégoulinants de pitié loin de moi, avant que je ne les arrache de leurs orbites ! — Dialla |
La petite sorcière-cafard ? Malachai l'a choisie elle… elle plutôt que moi ?!
Si c'est comme ça, alors utilise-la. Manipule-la comme Malachai la manipule. Que la trahison soit brûlée par la trahison. C'est tout ce qu'ils méritent ! — Piété |
Oui, je vois mon Malachai danser dans l'obscurité. La marionnette et le marionnettiste, le pouvoir et la dépendance ; coupez les ficelles et la marionnette tombe. Fin du spectacle.
Mais juste avant de couper les ficelles, dis à Malachai qu'il a joué son rôle à merveille, Pas-un-cafard.
Dis-lui bien que je l'aime, du fin fond de ma haine. — Maligaro |
Prends ceci. Je lui ai donné tout ce que j'avais : ma beauté et ma jeunesse, mon corps et mon esprit. Mon cœur, surtout. Et lui, tout ce qu'il m'a offert en retour... c'est mon pouvoir de Sertie.
C'est tout ce qu'il me reste. Je te le confie, Pas-un-cafard.
Malachai m'a appris à ne faire confiance à personne.
Mais il est temps d'oublier tout ce que Malachai m'a enseigné. — L'Appareil à Ravissement |
Une ombre revient des ténèbres. Une ombre qui empeste la vengeance accomplie, une ombre qui a touché le Bout du monde. La plus noire des ombres.
Mon Malachai est mort. Je l'ai su, je l'ai senti, je l'ai compris au moment où tu as porté le coup fatal. Je suis, j'étais… la Reine sertie et, à présent, mon Roi n'est plus. — Maligaro |
La petite fille est descendue dans une grotte obscure, très obscure. La petite fille a rencontré une Bête sombre, très sombre. La petite fille a mangé son cœur noir, très noir.
Mon Malachai est mort. Je l'ai su, je l'ai senti, je l'ai compris au moment où tu as porté le coup fatal. Je suis, j'étais… la Reine sertie et, à présent, mon Roi n'est plus. — Maligaro |
« Les justes hériteront de la terre », prêchait Voll à la lueur d'une chandelle, la veille du Cataclysme. La seule parole sensée jamais prononcée par cet imbécile. La seule fois où Dieu a été d'accord avec lui.
Mon Malachai est mort. Je l'ai su, je l'ai senti, je l'ai compris au moment où tu as porté le coup fatal. Je suis, j'étais… la Reine sertie et, à présent, mon Roi n'est plus. — Maligaro |
Je n'ai rencontré qu'un seul homme comme toi au cours de ma longue et tortueuse existence : Chitus. Un homme qui avait les qualités nécessaires pour s'abandonner à la Gloire sans retenue.
Pourtant, une toute petite différence vous sépare, lui et toi : Chitus a connu une mort glorieuse. Tu es toujours en vie.
Aujourd'hui, c'est mon Malachai qui est mort. Je l'ai su, je l'ai senti, je l'ai compris au moment où tu as porté le coup fatal. Je suis, j'étais… la Reine sertie et, à présent, mon Roi n'est plus. — Maligaro |
Malachai m'a dit un jour que ceux qui pourchassent l'amour ne le trouvent jamais, et que ceux qui acceptent le fait qu'ils en sont la proie sont attrapés à coup sûr… et dévorés.
Évidemment, il ne t'avait jamais rencontré avant aujourd'hui.
Mon Malachai est mort. Je l'ai su, je l'ai senti, je l'ai compris au moment où tu as porté le coup fatal. Je suis, j'étais… la Reine sertie et, à présent, mon Roi n'est plus. — Maligaro |
Tu as mené une longue bataille, dont l'enjeu était de provoquer la fin d'un monde pour en commencer un autre. Ce faisant, tu as appris ce qu'il y a de plus important à savoir sur la guerre.
Qu'il n'y a jamais de vainqueurs, que des survivants.
Mon Malachai est mort. Je l'ai su, je l'ai senti, je l'ai compris au moment où tu as porté le coup fatal. Je suis, j'étais… la Reine sertie et, à présent, mon Roi n'est plus. — Maligaro |
Malachai était considéré comme le plus grand esprit de notre époque. Une époque maintenant révolue, qui a cédé sa place à une nouvelle ère qui dorénavant t'appartient. On dit que « les grands esprits se rencontrent » ; j'espère que c'est faux.
Ainsi, mon Malachai est mort ? Oui... Je l'ai su, je l'ai senti, je l'ai compris au moment où tu as porté le coup fatal. Je suis, j'étais… la Reine sertie et, à présent, mon Roi n'est plus. — Maligaro |
Malachai et moi ne caressions que les plus grands rêves. Nous rêvions d'un empire véritablement éternel. D'une vie éternelle, d'un amour éternel. D'un avenir qui n'avait plus à craindre le passé.
En réalité, nous n'avons offert à Wraeclast qu'une infinité de mensonges et de pertes. Ce pays n'aurait pas pu connaître pire roi et reine.
Wraeclast va dorénavant pouvoir laisser le passé derrière lui, celui de Malachai tout comme le mien. Wraeclast te remercie, Pas-un-cafard. Il t'aime.
Si seulement, si seulement... Oh, si seulement je pouvais moi aussi oublier ce passé. — Wraeclast |
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